La grande histoire du Congo pré
colonial a commencé depuis 1908 à 1960 quand les Congolais étaient encore
colonisés et en même temps éprouvent les besoins de communiquer, de réduire la
reproduction, de main d’œuvre…
Le besoin de communiquer : les
congolais cherchent des solutions pour résoudre la lenteur de la transmission
des informations en inventant des instruments d’amplification visuelle et
sonore (le tam- tam, la famée, etc.). Pour résoudre le problème de la transmission fidèle du message vient apparaitre l’écriture d’abord pictographique, puis
idéographique, syllabique et ensuite alphabétique avec différents supports à
ses différentes étapes, est un moyen de connaissance et un vrai instrument de
travail. Les textes manuscrit est très couteux : il faut entendre
l’invention de l’imprimerie et plus tard de la radio, la télévision et de
l’internet pour prétendre a une facilité
a la période post colonial ou a nos jours. Ces moyens révolutionnent
l’homme en changeant sa manière de voir et de se positionner dans le monde.
Le besoin de réduire la
reproduction : De 1908 à 1960, la République Démocratique du Congo
(RDC) est connue sous le nom de Congo belge et demeure sous le joug colonial.
Beaucoup de pratiques actuelles liées à la reproduction et la planification
familiale puisent leur source dans cette époque, et même avant la période
coloniale. Comme dans beaucoup de pays africains, les sociétés traditionnelles
tendent à donner de l'importance à l'espacement des naissances et à réprouver
les intervalles courts entre celles-ci. À l'époque précoloniale, il est commun
de penser que l'enchaînement trop rapide de grossesses peut menacer la survie
de l'enfant. Pour éviter la honte associée
aux grossesses imprévues, les femmes ont recours à deux principales stratégies:
l'allaitement prolongé et l'abstinence, elle aussi prolongée de plusieurs mois
(parfois plus d'une année) après l'accouchement. La polygamie rend plus facile
cette pratique, puisque les hommes ont plusieurs compagnes pendant la période
d'abstinence post-partum. Avant 1900, l'infertilité est particulièrement élevée
dans les régions dévastées par la traite des esclaves. Pendant les années 1920
et 1930, la mobilité géographique découlant du colonialisme favorise les épidémies,
dont la Trypanosomiase africaine (« Maladie du sommeil ») et les infections
sexuellement transmissibles, facteurs de stérilité. Après la deuxième guerre
mondiale, l'infertilité décroit graduellement sur tout le territoire congolais,
particulièrement dans les villes. On estime toutefois que dans les années 50,
une femme sur cinq âgée de 30 ans et plus est sans enfant, plus de trois fois
le taux attendu pour les populations en bonne santé en l'absence de politique
familiale.[1]
Le besoin
des mains d’œuvre : les congolais s’organisent en groupe pour travailler.
Le travail n’est plus individuel mais devient collectif. Ensuite vient l’époque
de création des petites machines manuelles ( le machine a reproduire l’huile de
palme) et enfin viendra leur de la création des industries et des machines avec
la période colonial et post colonial.
[1] http://Chirwisa Flara CHIRHAMOLEKWA, MALONGA
MIATUDI, ‘’Histoire de la planification familiale’’, consulté le 29 janvier
2014.
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