mardi 25 mai 2021

Les besoins de l'Afrique post colonial: RDC




La grande histoire du Congo pré colonial a commencé depuis 1908 à 1960 quand les Congolais étaient encore colonisés et en même temps éprouvent les besoins de communiquer, de réduire la reproduction,  de main d’œuvre…
Le besoin de communiquer : les congolais cherchent des solutions pour résoudre la lenteur de la transmission des informations en inventant des instruments d’amplification visuelle et sonore (le tam- tam, la famée, etc.). Pour résoudre le problème de la transmission fidèle du message vient apparaitre l’écriture d’abord pictographique, puis idéographique, syllabique et ensuite alphabétique avec différents supports à ses différentes étapes, est un moyen de connaissance et un vrai instrument de travail. Les textes manuscrit est très couteux : il faut entendre l’invention de l’imprimerie et plus tard de la radio, la télévision et de l’internet pour prétendre a une facilité  a la période post colonial ou a nos jours. Ces moyens révolutionnent l’homme en changeant sa manière de voir et de se positionner dans le monde.

Le besoin de réduire la reproduction : De 1908 à 1960, la République Démocratique du Congo (RDC) est connue sous le nom de Congo belge et demeure sous le joug colonial. Beaucoup de pratiques actuelles liées à la reproduction et la planification familiale puisent leur source dans cette époque, et même avant la période coloniale. Comme dans beaucoup de pays africains, les sociétés traditionnelles tendent à donner de l'importance à l'espacement des naissances et à réprouver les intervalles courts entre celles-ci. À l'époque précoloniale, il est commun de penser que l'enchaînement trop rapide de grossesses peut menacer la survie de l'enfant.  Pour éviter la honte associée aux grossesses imprévues, les femmes ont recours à deux principales stratégies: l'allaitement prolongé et l'abstinence, elle aussi prolongée de plusieurs mois (parfois plus d'une année) après l'accouchement. La polygamie rend plus facile cette pratique, puisque les hommes ont plusieurs compagnes pendant la période d'abstinence post-partum. Avant 1900, l'infertilité est particulièrement élevée dans les régions dévastées par la traite des esclaves. Pendant les années 1920 et 1930, la mobilité géographique découlant du colonialisme favorise les épidémies, dont la Trypanosomiase africaine (« Maladie du sommeil ») et les infections sexuellement transmissibles, facteurs de stérilité. Après la deuxième guerre mondiale, l'infertilité décroit graduellement sur tout le territoire congolais, particulièrement dans les villes. On estime toutefois que dans les années 50, une femme sur cinq âgée de 30 ans et plus est sans enfant, plus de trois fois le taux attendu pour les populations en bonne santé en l'absence de politique familiale.[1]
Le besoin des mains d’œuvre : les congolais s’organisent en groupe pour travailler. Le travail n’est plus individuel mais devient collectif. Ensuite vient l’époque de création des petites machines manuelles ( le machine a reproduire l’huile de palme) et enfin viendra leur de la création des industries et des machines avec la période colonial et post colonial.




[1] http://Chirwisa Flara CHIRHAMOLEKWA, MALONGA MIATUDI, ‘’Histoire de la planification familiale’’, consulté le 29 janvier 2014.

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